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Investissement : À la recherche de super-coupons avec les certificats

by jules
5 août 20255 août 2025Filed under:
  • Entreprise

Avec des cours au plus haut et une faible volatilité, il est de plus en plus difficile d’obtenir des rendements intéressants à faible risque.

Ils sont toujours très appréciés des investisseurs car ils offrent des coupons attractifs, même si les conditions de marché de ces derniers mois ne sont pas très favorables. Des actions au plus haut et une faible volatilité, avec des taux en baisse, rendent difficile la construction de structures intéressantes pour le paiement des coupons. Nous parlons ici des certificats d’investissement de type « capital conditionnellement protégé », qui se caractérisent par le fait qu’à l’échéance, le capital est protégé à condition qu’aucun événement barrière ne se produise, c’est-à-dire qu’aucun des sous-jacents composant le panier ne soit coté à un niveau inférieur à celui prévu pour la protection du capital. Au cours de leur durée de vie, ils peuvent également verser des coupons mensuels ou trimestriels.

Les complexités

Ces instruments ne conviennent pas à tout le monde car ils sont très complexes dans leur construction et il est donc nécessaire de bien connaître leur fonctionnement avant de s’engager. Les certificats  sont des instruments complexes, construits à partir d’options, et leur cours est déterminé par une multitude de variables qui agissent simultanément, telles que l’évolution du sous-jacent, la volatilité, la durée jusqu’à l’échéance et les dividendes attendus, pour citer les plus importantes .

De ce point de vue, il est indispensable d’étudier en profondeur les variables et les caractéristiques des certificats avant de procéder aux premiers achats. Une fois sélectionnés, il est toujours préférable de miser sur des titres liquides et bien négociés. Même s’il existe un teneur de marché, un bon indice de liquidité garantit des spreads plus faibles et donc des coûts implicites moins élevés. Mais comment choisir le bon certificat ?

Les règles

Il existe plusieurs règles à suivre pour cela. Tout d’abord, il convient de sélectionner les sous-jacents qui composent le panier d’un certificat. De mon point de vue, l’idéal est de privilégier les certificats construits sur des indices et des sous-jacents de qualité, c’est-à-dire des sociétés présentant de bons résultats financiers et sans problèmes de solidité patrimoniale. Il est également utile de privilégier les certificats construits sur un seul sous-jacent, car ils sont plus faciles à suivre et à gérer.

Les aspects auxquels il convient d’être particulièrement attentif si l’on souhaite identifier les produits présentant le meilleur rapport risque/rendement concernent la barrière, le coupon, la possibilité d’un rappel anticipé par rapport à l’échéance naturelle et une protection à l’échéance en cas de survenance de l’événement barrière.

Les barrières peuvent être continues ou discrètes. Les secondes sont aujourd’hui les plus populaires : cela signifie qu’elles ne sont pas continues mais qu’elles ne se déclenchent qu’à certains moments pour le paiement des coupons et la protection du capital.

Les aspects techniques

« En ce qui concerne la barrière,  il convient de privilégier une barrière « discrète » et profonde, c’est-à-dire éloignée d’au moins 40 à 50 %, tandis que le coupon doit être « inconditionnel », c’est-à-dire versé indépendamment de l’évolution du sous-jacent. Sinon, il convient d’opter pour un coupon bénéficiant d’un « effet mémoire », de manière à ce qu’il puisse être versé à l’avenir, si les conditions de détachement sont à nouveau réunies ».

Vient ensuite la question de l’autocall, le rappel automatique lorsque certaines conditions sont remplies. L’idéal  serait que l’autocall s’active au début de la durée de vie du certificat et se caractérise par une baisse progressive, par exemple mois après mois, du niveau du trigger (mécanisme qui déclenche, ndlr).

Enfin, il est utile de prévoir une option « airbag » qui, à l’échéance, en cas de survenance de l’événement barrière, permet de réduire considérablement la perte monétaire ». Enfin, il y a la question de la durée du certificat : des échéances très longues augmentent les risques sur le papier, car l’évolution des sous-jacents peut réserver de plus grandes surprises.

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